Les dernières paroles d’un Sauveur à l’agonie, première partie

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Jésus a fait sept déclarations au cours des dernières heures qui ont précédé sa mort, alors qu’il était attaché à la croix. Elles nous sont rapportées dans les évangiles, et les principales ressources de BonneSemence mettent l’accent sur trois d’entre elles. Dans ce billet en deux parties, nous examinerons le sens profond de chacune des sept déclarations.

 Les écrivains de la Bible, Matthieu, Marc, Luc et Jean, apportent chacun un éclairage particulier sur les quelques journées critiques entourant la crucifixion de Jésus.

 Contexte

 On a arrêté Jésus de Nazareth, dans la nuit, sous de fausses accusations. Ainsi accusé à tort, on l’a exhibé devant une série de tribunaux. En fait, ces audiences n’étaient qu’un prétexte pour rendre légal ce que les chefs religieux juifs prévoyaient déjà : une condamnation à mort pour blasphème. Jésus a donc été battu et tourné en ridicule, puis condamné à mort par crucifixion par Ponce Pilate, le gouverneur romain.

La crucifixion

Le but de cette forme d’exécution barbare consistait à prolonger l’agonie aussi longtemps que possible. Cependant, la crucifixion de Christ s’est avérée d’une durée relativement courte : de la « troisième » heure (vers 9 h (Marc 15.25)) jusque vers la « neuvième » heure (15 h (Marc 15.33)).

Quand on lit la description de ce qui s’est produit durant ces six heures, on ne trouve aucun détail sensationnel ou mélodramatique au sujet de la souffrance physique que Jésus a endurée, cloué à la croix. La Bible ne satisfait pas notre curiosité. On ne trouve aucun des détails atroces auxquels on pourrait s’attendre du journalisme moderne. Au contraire, le récit de la crucifixion est raconté simplement, sans propos dramatiques. L’intention n’était pas de minimiser les souffrances de Christ. Sa douleur était bien réelle, mais ce n’est pas sa douleur que les Écritures font ressortir. La Bible donne plutôt un aperçu de l’amour de Jésus pour l’humanité par les sept déclarations qu’il a faites au cours des dernières heures avant sa mort. Comme les dernières paroles qu’un être cher prononce sur son lit de mort revêtent une grande importance pour sa famille et ses amis, ainsi ont retenti avec puissance les paroles de Christ à travers le temps.

Première déclaration

« Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu’ils font. » (Luc 23.34, LSG)

 Pardonne-leur…

On s’attendrait normalement à ce que la victime, au moment de l’horrible crucifixion, lance des jurons et maudisse les soldats qui la clouaient à la croix, sans parler des spectateurs sadiques. Et qui aurait pris en défaut qui que ce soit à la place de Jésus s’il avait proféré des menaces de vengeance à l’encontre des chefs religieux et de Pilate, qui ont contribué à le faire crucifier? De même, il aurait été naturel que Judas, le traitre, ait fait l’objet de malédictions et de menaces de vengeance.

De plus, durant les heures qui ont suivi, lesquelles ont semblé interminables, on lit que des gens ont sans arrêt accablé Jésus de railleries et de propos méprisants :

 « Tu voulais détruire le temple et le reconstruire en trois jours. Eh bien, si tu es le Fils de Dieu, sauve-toi toi-même et descends de la croix! » (Matthieu 27.40, PDV)

« Si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-même! » (Luc 23.37, LSG)

« Lui qui a sauvé les autres, qu’il se sauve donc lui-même, s’il est le Messie, l’Élu de Dieu! » (Luc 23.35, SEM)

« Dire qu’il a sauvé les autres, et qu’il est incapable de se sauver lui-même! C’est ça le roi d’Israël? Qu’il descende donc de la croix, alors nous croirons en lui! » (Matthieu 27.42, SEM)

En dépit de tout cela, rien n’indique dans les Écritures que Jésus a exprimé de la colère ou de la rancœur. En fait, Jésus a réagi à l’opposé de ce qu’on aurait normalement entendu à un site d’exécution.

« Quand on l’a insulté, il [Jésus] n’a pas répondu par l’insulte; quand on l’a fait souffrir, il n’a pas formulé de menaces, mais il s’en est remis à Dieu qui juge avec justice. » (1 Pierre 2.23, BFC)

Au lieu de maudire ses ennemis, Jésus a parlé de pardon : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu’ils font. » (Luc 23.34, LSG)

Le temps de verbe du mot grec traduit par pardonne, utilisé dans ce texte-ci, suggère que Jésus aurait prononcé ces mots à plusieurs reprises, peut-être aurait-il même commencé au moment où les soldats le clouaient à la croix. C’est peut-être ainsi que Jésus a réagi après chacun des coups de marteau qui enfonçaient les gros clous. Il est possible, aussi, qu’il ait dit ces mots après chaque insulte et chaque raillerie qu’il entendait alors qu’il était crucifié, exhibé à la vue du monde entier.

Pendant les courtes années du ministère de Jésus, une bonne partie de son enseignement contredisait les normes qui étaient familières à ses auditeurs. Et lorsqu’il se heurtait à de l’opposition, Jésus enseignait :

 « Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent, bénissez ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous maltraitent. » (Luc 6.27-28, LSG)

Ailleurs, la Bible cite aussi ces paroles de Jésus :

« Priez pour ceux qui vous font souffrir. » (Matthieu 5.44, PDV)

Un jour, on a demandé à Jésus combien de fois une personne devait pardonner à une autre. Il a répondu en insistant sur le fait qu’on devrait pardonner aussi souvent que nécessaire, sans fixer de limite (Matthieu 18.22). Dieu veut que le pardon qu’on accorde à autrui soit inconditionnel.

Ses mots n’étaient pas simplement pieux; Jésus lui-même a mis en pratique ce qu’il enseignait : « Père, pardonne-leur ».

Même en « [intervenant] en faveur des coupables », Jésus accomplissait une prophétie (Ésaïe 53.12, SEM). En effet, alors qu’il était en train de souffrir sa terrible agonie, Jésus n’a pas oublié la raison pour laquelle il – le Fils de Dieu – était venu sur terre. Tout cela faisait partie du plan de Dieu pour rétablir la relation entre lui-même et l’humanité pécheresse.

En effet, Dieu a envoyé son Fils dans le monde non pas pour condamner le monde, mais pour qu’il soit sauvé par lui. (Jean 3.17, SEM)

Père, pardonne-leur…

 Il est important de souligner que la requête de Jésus quant au pardon n’était pas adressée à un « Dieu » froid et distant ou à un « Seigneur » inaccessible qui ne manifesterait aucun intérêt, aucune compassion pour la nature de cette requête. En fait, c’est son Père céleste que Jésus priait. Le mot araméen Abba, que Jésus a employé, était un terme affectueux exprimant une relation privilégiée. En français, il équivaut à Papa. Alors que les terribles événements des heures qui allaient suivre commençaient à se dérouler, Jésus a exprimé son amour inconditionnel et sa confiance en son Abba, son Père, en priant.

Quand on examine de nouveau ces quelques mots, « Père, pardonne-leur… », on se pose une question : en faveur de qui Jésus prie-t-il? Les soldats romains directement impliqués dans sa crucifixion? Pilate, celui qui l’a condamné à mort? Les principaux sacrificateurs et les chefs religieux qui avaient comploté la mort de Jésus? Tous ceux-là étaient certainement visés, mais en fin de compte, la Bible dit clairement que vous et moi sommes les responsables de la mort de Jésus.

Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. (Romains 5.8, LSG)

Voici comment nous savons ce que c’est d’aimer : Jésus-Christ a donné sa vie pour nous. (1 Jean 3.16, SEM)

Il n’y a de salut en aucun autre; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. (Actes 4.12, LSG)

Pardonner. Jésus ne demandait pas à son père d’ignorer ou d’excuser, d’une façon ou d’une autre, les responsables de sa mort imminente. Un Dieu saint ne peut pas fermer les yeux sur le péché. La justice de Dieu exige que des mesures soient prises à l’égard du péché. Et c’est précisément pour cette raison que Jésus était attaché à la croix; il subissait le châtiment que méritaient les coupables, il mourait à la place des pécheurs. Ainsi, Jésus rendait possible la demande même qu’il adressait à Dieu : pardonner.

Ils ne savent ce qu’ils font.

Il ne s’agissait pas d’une requête générique pour un pardon quelconque. Jésus la présentait pour une raison. Il a expliqué : « ils ne savent ce qu’ils font » (Luc 23.34, LSG). Pendant que Jésus priait, ses pensées devaient inclure les soldats romains qui ne faisaient qu’obéir aux ordres. Ils connaissaient peu de choses, voire rien, des Écritures juives et des vieilles prophéties qui se réalisaient involontairement. Jésus devait aussi penser aux curieux qui suivaient simplement la foule. Même les personnes directement responsables de la crucifixion de Jésus à Golgotha étaient aveuglées par leur haine. En vérité, personne n’a réellement compris que c’était le Créateur de l’univers, le Dieu tout‑puissant, Yahvé lui‑même qu’on avait cloué à une croix en bois rugueux.

Cette sagesse, aucun des chefs de ce temps ne l’a connue, car, s’ils l’avaient connue, ils n’auraient pas crucifié le Seigneur de la gloire. (1 Corinthiens 2.8, S21)

Paul lui-même s’était trouvé dans une situation semblable.

… moi qui étais auparavant un blasphémateur, un persécuteur, un homme violent. Mais j’ai obtenu miséricorde, parce que j’agissais par ignorance, dans l’incrédulité (1 Timothée 1.13, LSG).

La prière de Jésus était particulièrement significative et importante parce qu’il implorait son Père céleste, le « Dieu de miséricorde ». Au fond, Jésus demandait en prière : « Père, ces pauvres gens ont désespérément besoin du pardon que toi seul peux accorder et ils ne sont même pas au courant. Ils ont besoin de ta miséricorde bien plus qu’ils ne la méritent. »

Mais toi, Seigneur, tu es un Dieu miséricordieux et compatissant, lent à la colère, riche en bonté et en fidélité (Psaumes 86.15, LSG).

Mais, lorsque la bonté de Dieu notre Sauveur et son amour pour les hommes ont été manifestés [en la personne de Jésus-Christ], il nous a sauvés, non à cause des œuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde (Tite 3.4-5, LSG).

Les premières paroles de Jésus à la croix nous assurent que Dieu a prévu un moyen afin que les hommes soient pardonnés.

Deuxième déclaration

« Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis. » (Luc 23.43, LSG)

Les évangiles rapportent que deux criminels ont été crucifiés en même temps que Jésus, un de chaque côté. D’après leur propre aveu, les deux étaient coupables des charges retenues contre eux.

À bien des égards, ces deux hommes étaient très semblables. Tous deux étaient brigands (Matthieu 27.38), possiblement les partenaires de crimes de Barabbas, le meurtrier relâché plus tôt par Pilate à la place de Jésus (Luc 23.13-25). Malgré le fait que tous deux subissaient la même sentence cruelle que Jésus, on lit que ces condamnés se sont joints à la foule de spectateurs pour lancer des insultes à celui qui était crucifié au centre (Matthieu 27.44).

Puis, une différence a distingué les deux brigands. Il est devenu évident que l’un deux avait changé d’attitude, compris quelque chose et acquis une conviction.

Le premier criminel

D’un côté, le premier criminel a continué de traiter Jésus avec mépris. « Jésus, si tu es réellement celui que tu prétends être – Christ, le Messie – alors tire-nous tous les trois de ce pétrin! »

Sa compréhension du messianisme correspondait beaucoup à l’opinion très répandue actuelle. En fait, on croyait communément que le Messie longtemps attendu délivrerait enfin le peuple opprimé d’Israël de la tyrannie des puissances étrangères. (À l’époque, il s’agissait de Rome.) On ne comprenait pas que, possiblement, le Christ promis par Dieu, le Messie, viendrait pour délivrer l’humanité d’un différent type d’esclavage : les liens du péché et de la mort éternelle.

Le second criminel

De l’autre côté, les railleries du second brigand ont pris fin. Puis, il a de nouveau ouvert la bouche pour réprimander l’autre voleur. Il a rappelé au premier homme que tous deux souffraient en raison de la juste conséquence de leurs crimes. Leur passé criminel les avait rattrapés. En revanche, celui qu’on avait crucifié entre eux n’avait rien fait de mal.

Ensuite, ce second voleur se tourne vers Jésus et lui adresse une requête simple : « Jésus, souviens-toi de moi, quand tu viendras dans ton règne. » (Luc 23.42, COL)

Sa requête est remarquable : un homme mourant place sa foi dans un autre homme mourant et lui demande de se souvenir de lui, un pécheur indigne, après sa mort! Ce hors-la-loi reconnu coupable est tout à fait conscient que la mort n’est pas la fin de tout. Il met donc sa foi en ce Jésus – qui meurt sans même avoir péché – et croit qu’il se souviendra de lui dans une vie à venir!

Je te le dis en vérité…

En réponse, Jésus souligne la fiabilité de sa promesse au voleur par un langage catégorique. Littéralement, ses mots voulaient dire « assurément, je te confirme… ». Cet homme pouvait miser sur ce qu’il s’apprêtait à entendre.

Maintenant, il importe de comprendre que la demande de cet homme mourant ne reposait pas sur quoi que ce soit qu’il aurait fait ou qu’il pourrait offrir (après tout, il avait vécu une vie de criminalité). Il n’espérait pas non plus être en mesure de faire quelque chose digne de la miséricorde et de la grâce de Dieu (il était à l’article de la mort). Il n’avait aucun mérite personnel à présenter. Pourtant, lorsqu’il s’est adressé à Christ avec une confiance crédule, cet homme était instantanément assuré d’aller au paradis quand il mourrait.

Tu seras avec moi…

Or, la promesse que Jésus lui a faite ne concernait pas un autre lieu terrestre ou mystique. Il ne s’agissait pas d’une proposition abstraite quant à une métaphysique qui réchauffe le cœur. Ses paroles portaient plutôt sur la ferme assurance qu’il serait avec Jésus-Christ lui-même. Voilà le véritable espoir du croyant. Cet espoir est uniquement rendu possible parce qu’il, à l’exemple du brigand, compte sur autre chose que la croix : la résurrection. Selon les mots de Jésus :

« … afin que là où je suis vous y soyez aussi » (Jean 14.3, LSG).

L’apôtre Paul explique cette affirmation ainsi :

« … quitter ce corps [c’est] demeurer auprès du Seigneur » (2 Corinthiens 5.8, LSG).

C’est la raison pour laquelle Pierre appelait l’assurance du croyant « une espérance vivante » (1 Pierre 1.3, LSG).

Aujourd’hui dans le paradis

En outre, Jésus a assuré à l’homme mourant que sa promesse représentait une espérance certaine sur laquelle il pouvait compter immédiatement, car elle allait s’accomplir « aujourd’hui »; il ne s’agissait pas d’une vague espérance quelconque en un avenir lointain et incertain. C’était une promesse pour aujourd’hui!

Troisième déclaration

« Femme, voilà ton fils. […] Voilà ta mère. » (Jean 19.25-27, LSG)

Parmi le groupe nombreux de disciples qui accompagnait Jésus dans ses déplacements se trouvait un groupe de femmes. Les évangiles précisent clairement que plusieurs d’entre elles étaient présentes au moment de la crucifixion de Christ et qu’elles observaient de loin. Parmi elles, quatre femmes – y compris Marie, la mère de Jésus – se tenaient près de la croix. Jean, le disciple que Jésus aimait particulièrement, était avec elles (voir Jean 21.20-24).

Assurément, cela a dû être particulièrement insupportable pour Marie et Jean de regarder celui qu’ils aimaient souffrir une douleur aussi atroce. Cette scène a dû rappeler à Marie un souvenir bouleversant datant de plusieurs années, peu après la naissance de Jésus. Un prophète âgé appelé Siméon avait reçu du Seigneur des informations quant à l’identité de Christ. De plus, Dieu lui avait donné des mots précis pour Marie et ils prenaient maintenant un sens poignant :

« … une épée te transpercera l’âme » (Luc 2.35, LSG).

Devant une telle souffrance personnelle, Marie a dû se sentir très seule avec tout ce qu’elle ressentait.

Vraisemblablement, Marie était veuve depuis un certain temps. Le récit biblique n’évoque plus Joseph à partir du moment où Jésus commence son ministère public. Quant aux frères de Jésus, nous savons qu’ils ne croyaient pas en lui (Jean 7.5). Apparemment, ils ne sont devenus croyants qu’après la résurrection de Christ.

Alors, qui pouvait comprendre l’intensité des émotions qu’elle ressentait? Pourtant, Jésus savait, et il se souciait d’elle bien au-delà de ce qu’on aurait pu croire en dépit de sa propre agonie. Et cela suffisait. Alors qu’il souffrait lui-même, on l’entend prononcer les mots : « Femme [précieuse], voici ton fils! » (Jean 19.26, SEM) et ensuite, il s’adresse à Jean : « Voici ta mère » (Jean 19.27, SEM).

Conscient qu’il ne possède aucun bien matériel à léguer à sa mère, Jésus lui donne ce dont elle a le plus besoin à ce moment-là : du réconfort et de la force pour surmonter l’intensité de sa douleur et de son chagrin. Étant donné qu’il ne semble y avoir personne d’autre pour apporter à sa mère l’amour, l’attention et le soutien dont elle a besoin dans cette épreuve extrêmement difficile, Jésus se tourne vers Jean alors qu’on a besoin de lui plus que jamais. Ainsi, Jésus confie à celui qu’il aime la responsabilité d’agir à sa place comme un fils et de prendre soin de sa précieuse mère.

Ici, on trouve un rappel important : en période de douleur, les relations spirituelles qu’on entretient avec ses frères et sœurs en Christ représentent une source considérable de force et de réconfort pour surmonter peine et douleur.

Par ces quelques paroles prononcées à la croix, on comprend mieux l’amour de Jésus pour les siens. Il désire avoir une relation avec nous, rendue possible par le pardon des péchés. Il a très envie de passer l’éternité avec nous et il s’est donné beaucoup de peine pour nous ouvrir la voie. Enfin, il se soucie également de nos besoins terrestres, peu importe leur nature. Il est véritablement un Sauveur merveilleux.

Série Approfondissement : Chaque ressource de BonneSemence est écrite de façon à fournir au lecteur les éléments essentiels du message central de la Bible qui lui permettront de comprendre clairement l’Évangile. C’est pourquoi nous présentons des histoires déterminantes, de la création à la croix. Nous ne cherchons pas à présenter les choses de façon exhaustive et ce n’est pas notre but. En effet, trop de choses pourraient être dites au sujet de la vie, de la mort et de la vie après la mort. De même, nous ne voulons pas détourner l’attention du lecteur du message principal de la Bible à propos du salut – c’est peut-être la première fois qu’il en prend connaissance.

 Cependant, nous demeurons conscients que la Bible est une mine regorgeant de trésors spirituels qui mérite d’être étudiée durant toute une vie. Dans cette optique, chaque mois, la série Approfondissement examinera quelques trésors afin d’encourager votre cœur, d’éclairer votre esprit et de vous motiver à explorer davantage la Parole de Dieu par vous-mêmes.